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« Je l’ai vue 25 fois » : Steven Spielberg n’aimait pas ce film de Kubrick, mais il en est devenu accro.

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Une Fusion de Génies: Kubrick et King, l’Éloge par Spielberg

Deux maîtres réunis : Stanley Kubrick et Stephen King. Une œuvre magistrale à laquelle Steven Spielberg rend hommage dans l’une de ses réalisations. Le lien unique entre ces deux géants du cinéma et de la littérature culmine dans la création de The Shining, une adaptation cinématographique qui a marqué l’histoire du septième art.

Hommage au Cinéma d’Horreur

Le cinéma d’horreur est un élément essentiel du style de Spielberg, exploré de manière directe dans des films tels que Les Dents de la Mer ou Duel. Même dans des œuvres comme Jurassic Park ou La Guerre des Mondes, les éléments de suspense et de terreur sont omniprésents. La connaissance approfondie de Spielberg du genre est indéniable, et lorsqu’il met en avant un film particulier, c’est qu’il s’agit sûrement d’une pièce maîtresse.

L’Impact de The Shining

Il n’est pas nécessaire que Spielberg exprime son admiration pour que l’on comprenne que The Shining est l’un des plus grands films d’horreur de tous les temps. Mais son soutien conforte cette idée. Le film met en lumière les peurs les plus sombres du roman original de King, grâce au génie de Kubrick. Même si l’auteur n’a pas été totalement satisfait de l’adaptation, le résultat reste un chef-d’œuvre cinématographique.

Le Voyage de Jack Torrance

The Shining suit l’histoire de Jack Torrance (Jack Nicholson), qui devient gardien d’un hôtel isolé pour l’hiver avec sa famille. Cette expérience se transforme rapidement en cauchemar lorsqu’ils découvrent que l’endroit est hanté par un passé trouble. Le jeune Danny, fils de Jack, ressent la présence de forces obscures, tandis que son père perd graduellement la raison, se transformant en un dangereux psychopathe.

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Spielberg et Kubrick : Une Relation Complexe

Malgré leurs différences stylistiques, Spielberg a entretenu une relation spéciale avec Kubrick. Il a même poursuivi certains des projets inachevés de Kubrick, comme A.I. Intelligence Artificielle. Sa fascination pour The Shining est évidente, surtout dans la scène mémorable de Ready Player One, où il recrée l’iconique ascenseur ensanglanté.

Un Amour Progressif

Au départ, Spielberg n’était pas impressionné par The Shining. Dans une interview après la mort de Kubrick, il a avoué que le film ne l’avait pas séduit immédiatement. Cependant, au fil des années, et après de multiples visionnages, il a appris à apprécier la complexité et la profondeur de l’œuvre. La critique initiale a pu être mitigée, mais le film a finalement trouvé sa place dans le panthéon des grands classiques, tout comme les autres films de Kubrick, qui demandent souvent plusieurs visionnages pour être pleinement appréciés.

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