Liam Neeson : un parcours marqué par l’action
En incarnant pour la première fois le personnage de Bryan Mills il y a 16 ans, Liam Neeson est devenu une figure incontournable du cinéma d’action. Depuis ce rôle emblématique dans Vengeance en 2008, Neeson n’a cessé de s’illustrer dans des films de ce genre, accumulant les projets palpitants qui ont captivé le public. La trilogie Vengeance, composée de trois films offrant au total 5 heures de suspense (soit 297 minutes), a joué un rôle crucial dans cette transformation. Si vous êtes amateur d’action ou si vous souhaitez revisiter les films qui ont établi Neeson comme un héros d’action incontournable, cette saga est disponible en streaming sur Disney+.
Un acteur transformé en héros d’action
Avant de devenir un héros sur grand écran, Liam Neeson n’était pas destiné à ce type de rôle. Tout a changé avec son interprétation magistrale dans Vengeance. Ce film, réalisé par Pierre Morel, a non seulement marqué le début d’une trilogie à succès, mais a également propulsé Neeson sur le devant de la scène en tant que figure centrale du cinéma d’action moderne. Les suites de cette trilogie, Venganza: Conexión Estambul (2012) et V3nganza (2014), ont consolidé cette image, permettant à Neeson de devenir une véritable icône du genre.
Une trilogie qui a conquis le public
La première partie de la saga a été un succès commercial retentissant, récoltant plus de 226 millions de dollars dans le monde entier pour un budget de seulement 25 millions de dollars. Bien que les critiques aient été mitigées, le public a été conquis, incitant les producteurs à prolonger l’histoire de Bryan Mills. Venganza: Conexión Estambul, sorti en 2012, a vu son budget augmenter à 45 millions de dollars, tout en rapportant plus de 376 millions de dollars mondialement. Enfin, V3nganza, sorti en 2015, a clôturé la trilogie avec un budget de 48 millions de dollars et des revenus dépassant les 326 millions de dollars.
Critiques et popularité
Malgré des critiques souvent sévères, la trilogie a su conquérir le cœur des spectateurs. Sur Rotten Tomatoes, seule la première partie obtient une note de 60% de la critique, tandis que ses suites ont respectivement 22% et 13%. Cette disparité entre les avis critiques et l’enthousiasme du public est révélatrice d’un phénomène où la popularité d’une œuvre dépasse largement les attentes des spécialistes.
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