La longue odyssée de Star Trek : une saga intemporelle
Quel amateur de science-fiction aurait pu prédire que le projet de Gene Roddenberry deviendrait un pilier incontournable du genre ? Créateur de l’univers Star Trek, Roddenberry a donné naissance à une franchise riche de 13 films et de multiples séries, témoignant d’une vitalité sans cesse renouvelée.
Découverte et succès continu : un nouvel âge d’or
Les récentes productions de la franchise renforcent ce constat. La série Discovery, déjà à sa cinquième saison, a reçu des critiques positives avec un impressionnant taux d’approbation de 80%. Picard, portée par Patrick Stewart, a quant à elle conquis un large public, atteignant un score de 97%. Le travail d’animation de Lower Decks parvient aussi à séduire aussi bien la presse que les spectateurs, confirmant la popularité de Star Trek à travers différents formats.
Retour sur les classiques : un regard vers les débuts
Face à cette abondance de nouveaux contenus Trekkies, il est intéressant de revisiter les premiers films de la série. En 2010, dans une interview pour StarTrek.com, le célèbre producteur Harve Bennett a révélé son affection particulière pour La colère de Khan, considérée par beaucoup comme l’une des meilleures œuvres de la saga.
La colère de Khan : un joyau inoubliable
La réponse de Bennett n’a surpris personne. Le film de 1982 réalisé par Nicholas Meyer est un favori des fans. Ce film montre un capitaine Kirk, audacieux mais souvent inconséquent, qui doit faire face à son passé et à un antagoniste de longue date. La complexité du personnage de Khan et la scène finale de combat ajoutent une dimension épique qui résonne encore aujourd’hui auprès des fans.
Mon instinct me dit : ‘Bien sûr, IV est mon préféré’, mais je dois admettre que ‘II’ occupe une place spéciale dans mon cœur pour les raisons que nous avons évoquées et bien plus encore.
Bennett évoque également Mission : sauver la Terre, dirigée par Leonard Nimoy. Sorti en 1986, ce film a été un succès commercial aux États-Unis avec des recettes atteignant 133 millions de dollars, devenant ainsi le film le plus rentable jusqu’à l’arrivée de la franchise de J.J. Abrams. Cependant, Bennett a finalement choisi un autre projet, privilégiant une approche plus personnelle.
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