Que devient Azela Robinson, la star de ‘La Usurpadora’ menacée par une arme il y a quelques mois ?

La usurpadora, une des telenovelas les plus mémorables, a marqué des générations de téléspectateurs. Dirigée par Beatriz Sheridan, cette série mexicaine a émerveillé le public grâce à l’interprétation inoubliable de Gabriela Spanic. Son impact est tel que la chanteuse Karol G a décidé de rendre hommage à cette fiction en recréant une scène culte dans le teaser de son dernier album ‘Tropicoqueta’ avec les actrices vedettes, Spanic et Azela Robinson.

Dans cette scène, Robinson s’exclame : « Baissez la musique, nous allons nous tuer ». Ce à quoi Spanic répond : « J’ai sept vies, comme les chats ». « Pas moi », rétorque sa collègue. « C’est ton problème », conclut-elle. Ce dialogue, emblématique de La usurpadora, est magnifiquement revisité dans l’hommage de Karol G, ravivant les souvenirs de nombreux fans.

Cette scène, riche en drame et en suspense, a touché nombre de spectateurs, notamment grâce à sa place dans l’une des meilleures telenovelas de 1998. Pourtant, que devient Azela Robinson, l’actrice incarnant Elvira dans La usurpadora?

Parcours professionnel d’Azela Robinson

L’actrice mexicaine a poursuivi sa carrière dans diverses telenovelas et séries télévisées, devenant la méchante emblématique de la fiction mexicaine. De La rosa de Guadalupe à Mujer de nadie, en passant par Cañaveral de pasiones et son dernier travail La jefa, sans oublier Cuna de lobos et Por amar sin ley. Elle a également brillé au cinéma avec des films comme Atrapada et sur scène avec des pièces comme 12 mujeres en pugna.

Une menace armée en pleine rue

En mai dernier, Azela Robinson a fait parler d’elle pour un événement bien différent de sa carrière. Elle a révélé sur ses réseaux sociaux avoir été menacée avec une arme à feu à Mexico, dans la rue Leandro Valle à San Ángel, alors qu’elle était au volant.

« Je me suis retrouvée face à une Ferrari, ce qui est courant à San Ángel, et une camionnette imposante avec huit gardes du corps », a-t-elle raconté sur Instagram. « Je voulais laisser passer la voiture, mais ils sont sortis pour me montrer une arme en me disant de dégager », a-t-elle ajouté.

Malgré la menace, Robinson a choisi de rester sur place. « J’ai fait semblant de rien, me déplaçant le moins possible pour observer leur réaction. » Finalement, le propriétaire de la Ferrari rouge et noire, qu’elle croit être une Ferrari bien qu’elle n’y connaisse rien, est passé avec son escorte. Elle a conclu en affirmant que « nous sommes revenus à l’époque d’Echeverría ».